PROGRAMME 2020

EXPOSITIONS

« Au détour des allers »  installations de Guilhem Roubichou
Guilhem Roubichou se réapproprie son quotidien et sa culture « néo rurale » en les déplaçant dans le champ de l'art. Il crée un contraste entre système naturel et système artificiel et joue avec la «technologiegadget », en détournant leur fonction première; une manière de nous questionner sur les transformations qui s'opère dans notre société contemporaine.
Du 18 janvier au 26 février

« 4800 + 4800 CASES » installation d’Albin Bousquet et MNR
4800+4800 cases, c'est un coloriage participatif et citoyen. Pour cette deuxième édition, Albin Bousquet (illustrateur) invite MNR (street artiste) et vous proposent leur vision du coloriage géant.
Du 6 au 28 mars

« Philippe Lamy, peintures »
Philippe Lamy confie à la durée un temps de réalisation fondée sur ce qui revient à créer l’immobilité active de l’attente : voir monter la lente et inexorable sédimentation des couches de couleurs prises dans la trame rugueuse des fils de la toile.
Du 4 avril au 30 mai

« Paysages Traversants-Traversés : Patrimoine » d'Hélène Mongin
La peinture et la photographie sont intimement liées dans ma recherche artistique où les frontières de l'une et de l'autre se brouillent créant ainsi un trouble, un questionnement de l'image. Ces paysages mis en abyme par différents procédés successifs, interrogent la notion de l'espace et du temps mais aussi celle de la perception, du point de vue et de l'instant du lieu.
Du 5 juin au 25 juillet

« JE, VOUS, L'éCRIT...» de Bernard Barillot
L'écriture, la calligraphie, et la couleur, les trois éléments picturaux dont je dispose et que j’utilise, distillent un mélange à trois, sur plusieurs strates superposées.
Le côté obsessionnel de La juxtaposition de formes scripturales ravive en permanence pour moi une passion charnelle et amène le spectateur à une « lecture » qui elle se dissimule entre, et sous les lignes, de façon quasiment intemporelle.
Du 5 septembre au 31 octobre

« Structure&regard » de Maryilyn Bousquet
Photomontage et surimpression sont les deux procédés photographiques utilisés par Maryilyn Bousquet pour changer notre vision urbaine et y mettre de la symbolique: celle du pouvoir et de l’utopie.
Du 4 novembre au 24 décembre



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